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Association d’Aide aux Victimes des ADFI - Page 4

  • Unadfi ... CONFIDENTIEL ... Adfi ... CONFIDENTIEL ...

    Mais qu'est-ce qui est confidentiel dans les comptes de l'UNADFI et des ADFI ?

    L'UNADFI et des ADFI ont pris l'habitude d'estampiller leurs comptes d'un très visible : CONFIDENTIEL.

    Or, leur source de financement est quasiment à 100% l'argent du contribuable. Donc que doivent-ils cacher ? et à qui ?

    La question reste ouverte.

    Nous suggérons quelques aspects de leur fonctionnement qu'il ne faudrait peut-être pas ébruiter (Voir compte ADFI Nord):

    3076 € de cotisations des membres pour des subventions d'exploitation de 104 587,97 €, soit 34 € de fonds publics pour 1 € apporté par les membres

    222,65 € seulement de frais liés à la publication de documentations .... alors que les subventions obtenues sont justifiées par la divulgation de documentation

     

     

  • Les ADFI s’adonnent-elles à la délation ?

    De nombreux témoignages révèlent l’un des modes d’action des ADFI, dénoncer des particuliers ou des associations en dehors de tout cadre juridique.

    L’UNADFI, qui a la responsabilité du fonctionnement de ses filiales, semble se satisfaire de ces méthodes douteuses, à moins qu’elle n’encourage ces pratiques repoussantes ?

    Lettre de dénonciation n°1

    Lettre de dénonciation n°2

    Lettre de dénonciation n°3

    Lettre de dénonciation n°4

     

  • L’Unadfi promeut-t-elle des actions encourageant le deprogramming ?

    Qu’elle est la différence entre exit-councelling et deprogramming ?

    Sous le titre « Sortie de secte réussie », l’Unadfi rapporte des faits inquiétants dans sa revue Bulles n° 103.

    Une jeune fille de 18 ans, Amélie, avait rejoint une communauté pendant 4 jours seulement.

    Ses proches auraient alors constaté, c’est ce qu’ils reprochent à Amélie, une transformation dès le premier jour.

    Les propos rapportés par l’Unadfi dans Bulles pour cette « Sortie de secte réussie » parlent d’eux-mêmes :

    « La conscience du danger couru par Amélie l’a emporté sur toute autre considération ».

    « Mais c’est par notre force de conviction, notre énergie contre la volonté de la secte, que nous avons pu progressivement déstabiliser l’adepte qui l’habitait. En lui transmettant des images très fortes, folles à vrai dire, je l’ai entraînée sur un territoire mental imprévu »

    « C’est après avoir vu mes larmes à un moment crucial de la séance d’"exit councelling" organisée par Leif, qu’un changement s’est produit en elle »

    « Durant le week-end, Arvid est resté en retrait, tandis que Leif et moi prenions Amélie en charge alternativement. Puis c’est Eva, une amie de Leif (avec partiellement l’aide de sa mère), qui a reçu Amélie huit jours chez elle »

    « On peut monter une équipe comportant au moins une personne qui s’y connaisse en techniques des sectes, un proche de l’adepte pour la relation affective, et d’autres personnes en soutien. L’équipe corrige son plan initial en temps réel »

    « Quand à la colère, l’ « envie de meurtre », bien réelle, qu’en famille nous avons pu ressentir, nous l’avons vite transformée …. »

    Cette brève présentation faite par l’Unadfi permet d’apprécier la violence de l’intervention contre Amélie !

    *Deprogramming est un terme américain (pouvant être traduit par « déprogrammation ») qui désigne des méthodes basées sur la violence morale et/ou physique pour persuader ou contraindre un individu à abandonner ses croyances.

    Depuis l’origine des mouvements de lutte contre les minorités spirituelles et religieuses, ceux-ci ont pratiqué de nombreuses opérations de deprogramming, celles-ci étant en général facturées très chères à la famille.

    Deprogramming par les groupes anti-sectes : cas n°1

    Mécanicien sur autos, âgé de 26 ans, SP n’a pas fini de payer chèrement sa conversion religieuse.

    Enlevé au domicile de ses parents et séquestré pendant vingt-quatre heures par FP, un « déprogrammeur », et trois de ses «assistants». Les commanditaires de l’enlèvement étaient ses propres parents.

    SP vivait avec ses parents lorsqu’il a rencontré un groupe religieux. Il a ensuite déménagé pour vivre avec ce groupe, mais les parents n’ont jamais accepté ce choix, reprochant notamment à leur fils d’avoir légué ses économies à la communauté.

    Une année après la conversion, les parents ont fait appel à un anglais spécialisé dans la « déprogrammation » de croyants de minorités spirituelles. Ainsi, profitant d’un passage de SP au domicile paternel, MF, le «déprogrammeur», et trois de ses acolytes l’ont enlevé, gaz lacrymogènes et menottes à l’appui. Pour un certain montant par jour, le «déprogrammeur» a conduit SP dans une maisonnette isolée. Pendant vingt- quatre heures, il a fait subir au jeune homme un intensif lavage de cerveau. Mais l’aventure a tourné court, alertée par un membre de la communauté, la police, arme au poing, a fait irruption dans la maisonnette pour délivrer le jeune homme. Le «déprogrammeur» et ses trois «assistants» furent arrêtés.

    Source : Journal 24 heures